• Une importante délégation gouvernementale est arrivée vendredi soir à Tripoli, composée notamment du ministre de l'Intérieur, du chef d'état-major personnel du président Tandja, mais aussi des différents corps de sécurité nigériens ; la délégation vient rencontrer plusieurs groupes touaregs entrés en rébellion en 2007 dans le nord du pays. Une rencontre qui tranche avec la position jusqu'ici intransigeante des autorités de Niamey : le président Tandja qualifiait encore récemment les rebelles du MNJ de « bandits armés et trafiquants de drogue ». La rencontre est donc en elle-même déjà un petit événement.

    Lire la suite...

    Partager via Gmail

  • Panapress

    Une conférence régionale sur la sécurité dans la bande sahélo-saharienne courant de la Mauritanie au Darfour, au Soudan, sera organisée à Bamako dans les semaines à venir, a annoncé le président Amadou Toumani Touré du Mali, au cours d'une conférence de presse jeudi à Bruxelles.

    Lire la suite...

    Partager via Gmail

  • NIAMEY (AFP) —

    Un patron de groupe de médias et un militant des droits de l'Homme nigériens ont été placés en garde à vue à Niamey pour "diffamation" et "propagation de fausses nouvelles" après la récente visite du président français Nicolas Sarkozy, a annoncé jeudi un dirigeant du groupe.

    Lire la suite...

    Partager via Gmail

  • DAKAR, 1 avril 2009 (IRIN) -
    Après la visite du président français Nicolas Sarkozy au Niger, à la fin du mois de mars, les habitants de ce pays désertique, exportateur d’uranium, continuent de se demander si AREVA, une société principalement détenue par le gouvernement français, honorera son engagement de protéger les communautés des risques de l’exploitation minière. 


    Selon plusieurs études, ainsi que les témoignages des habitants, les opérations minières menées et gérées à la fois par les filiales d’AREVA et le gouvernement nigérien comportent des risques sanitaires et environnementaux. 

    Lire la suite...

    Partager via Gmail

  • Lors de sa tournée express en Afrique, Sarkozy n'a même pas cherché à donner une image humanitaire ou diplomatique à ses objectifs. Laissant le ministre des Affaires étrangères Kouchner en France, il s'était fait accompagner par la ministre de l'Économie et par une dizaine de grands patrons. 

    Lire la suite...

    Partager via Gmail